Note : Des populations marronnes de chats semblent s’être établies pour le moins sur les îles inhabitées de Eiao et Mohotoni et communément observées en bordure de route traversière en montagne à Hiva Oa et Fatu Hiva aux Marquises et sur Tikehau, Raroia, Rangiroa et Moruroa aux Tuamotu (Meyer, comm. pers., 2007).L’impact du chat en Polynésie française a fait l’objet de peu d’études détaillées. Il est cependant soupçonné d’avoir contribué à l’extinction de nombreuses espèces et d’être une des causes principales de la régression des populations de gallicolombes (Gallicolumba sp.).